La Pause Chocolat Thé veut croquer de nouvelles opportunités
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Depuis 2012, les créations de La Pause Chocolat Thé ravissent les gourmets en province du Luxembourg. L’entreprise n’a depuis lors cessé de grandir sous l’impulsion de Stéphanie Bosch, sa fondatrice. Avec à ses côtés un partenaire précieux : BNP Paribas Fortis.
Pour Stéphanie Bosch, le chocolat a toujours été une passion. Une passion dont elle a fait son métier à 35 ans, en ouvrant avec son mari Alain Baggen la boutique « La Pause Chocolat Thé » à Libramont. C’était en 2012. Aujourd’hui, l’entreprise emploie près de 20 personnes et produit chaque année l’équivalent de 17 tonnes de chocolat de manière artisanale.
3 magasins et une multitude de références gourmandes
Plus de 50 variétés de pralines, des produits phares comme leur nuage chocolaté, des créations saisonnières et désormais aussi des biscuits, de la glace, du café et des thés : l’assortiment de la Pause Chocolat Thé a de quoi faire saliver. Et l’entreprise affiche une croissance constante. « Nous avons ouvert un autre magasin à Marche-en-Famenne, et récemment un shop in the shop dans un Delhaize. Nous commercialisons aussi nos produits dans des supermarchés de la région et via notre site web. »
Le bon partenaire pour investir et grandir
Pour grandir, Stéphanie et la Pause Chocolat Thé ont dû investir. « Dans les nouveaux magasins, mais aussi dans les ateliers et les infrastructures de production. Notre nouvel atelier de 450 m2 dispose d’équipements dernier cri. »
Depuis ses débuts, Stéphanie peut aussi compter sur BNP Paribas Fortis et Anne Sohet, directrice Local Business pour sa région. Stéphanie : « Anne et ses collègues étaient là pour financer l’aménagement de notre première boutique, puis nos autres investissements. Avec eux, tout est simple et naturel. Ils comprennent notre entreprise, ils sont transparents et attentifs. Nous nous voyons régulièrement : cette proximité, c’est la base pour répondre à nos besoins et bâtir une relation de qualité. »
Disponibilité, proximité et confiance réciproque
« Pour accompagner les entreprises locales, il faut de la disponibilité, de la proximité et une bonne connaissance du dossier », confirme Anne Sohet. « C’est comme ça qu’on crée une confiance réciproque. Voir un nouveau magasin qui s’ouvre et savoir qu’on a participé à son financement, c’est très gratifiant. Le lien humain créé avec des entrepreneurs comme Stéphanie, ceux qui font vraiment vivre leur projet, c’est le moteur de notre métier », conclut Anne.
« Cette proximité, c’est la base pour répondre à nos besoins et bâtir une relation de qualité. »
Stéphanie Bosch
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