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L’autopartage, ou « car-sharing », est-il fait pour vous ?

Posséder sa propre voiture : pour trois jeunes Belges sur quatre, cela ne va plus de soi. C’est ce qui ressort d’une enquête du bureau d’études Profacts menée pour BNP Paribas Fortis. C’est surtout dans les agglomérations urbaines que les jeunes envisagent des solutions de mobilité alternatives.

L’autopartage, ou « car-sharing », s’est énormément développé ces dernières années. En janvier dernier, on comptait dans notre pays 150.000 adeptes se partageant 4.000 véhicules (source : autodelen.net janvier 2021). Un chiffre en croissance de 30% par rapport à l’année précédente.

Le car-sharing, comment ça marche ?

Le car-sharing, c’est le partage d’une voiture entre plusieurs personnes ou ménages. Vous n’utilisez la voiture que lorsque vous en avez besoin. Si vous parcourez peu de kilomètres, l’autopartage est une solution (beaucoup) moins onéreuse que de posséder sa voiture personnelle.

Sur abonnement…

Il existe deux grands types d’autopartage. Premièrement, via des entreprises spécialisées qui proposent des voitures à partager. Vous souscrivez un abonnement et payez un coût par kilomètre et/ou par heure d’utilisation d’une de ces voitures. Certains prestataires demandent que vous rameniez le véhicule à son point de départ. Pour d’autres, vous pouvez le laisser à un autre endroit, dans la même ville.

… ou pas

Deuxièmement, le partage de voitures privées, bien que moins répandu, est possible aussi. Il en existe deux systèmes. Avec l’autopartage avec partage des frais, une personne ou un groupe de personnes est le propriétaire de la voiture. Les utilisateurs paient les frais réels sur base du nombre de kilomètres parcourus. Dans le cas de l’autopartage au prix du marché, le propriétaire choisit lui-même combien il facture par heure ou par kilomètre ; cela s’apparente à de la location de voitures entre particuliers.

À propos de Ask Your Bank

En tant que Positive Banker, BNP Paribas Fortis veut vous aider à y voir plus clair lorsqu’il s’agit d’argent. C’est pourquoi nous avons demandé à plus de 1.000 Belges quelles étaient leurs questions et préoccupations. Avec la série Ask Your Bank, nous y répondons en toute transparence. Parce que vous rendre la vie plus facile, c’est ça aussi le Positive Banking.